Par téléphone ou en cabinet, une consultation commence toujours par un premier tirage du tarot de Marseille. Le tarot est un instrument divinatoire millénaire, un condensé de toute la sagesse humaine.
Chaque lame, hautement symbolique, résonne en chacun de nous et réveille des messages universels, dits archétypes. Ce n’est pas nous qui choisissons ce que le tarot doit nous répondre, ce sont les lames du tarot qui nous envoient un message. Ce message est toujours très important, même si nous croyons que le tarot ne répond pas à notre question. En effet, il ne faut jamais oublier que le ou la tarologue n’est qu’un intermédiaire entre son ou sa consultant(e) et son inconscient ou ses guides. Le tarologue décrypte des messages, traduit en paroles, de son mieux, les symboles archétypiques du tarot, mais le consultant doit être réceptif, ne pas se borner à une question précise (si le tarot est fermé à cette question, on y reviendra plus tard, au pendule ou avec d’autres oracles lors de la suite de la consultation).
Le consultant doit être partie prenante lors du déroulement de la séance de voyance ; lui-même parfois doit ouvrir son intuition et décrypter ce que le tarologue lui dit ! Pascale vous conseille de prendre des notes et de les relire ultérieurement car lors du tirage de la roue astrologique, tirage très complet à faire une ou deux fois par an, bien des évènements surviennent un à deux ans plus tard.
La suite de la consultation s’effectue par la pose d’un oracle, jeu divinatoire qui apportera des détails concrets sur les évènements à venir à court terme (dans les trois à six mois, selon le tirage). Vient ensuite une recherche à l’aide d’un prénom dans le cadre d’une question sur le plan amoureux ou relationnel (« Que pensent mes collègues, mon employeur de moi ? À qui puis-je faire confiance ? » par exemple). Ou bien, sur demande, Pascale effectue aussi des recherches de dates, datations d’évènements à venir ou recherche de dates favorables.
Il est important de réaliser que dans l’ère du Verseau que nous traversons depuis plusieurs décennies, nous disposons de notre libre-arbitre de manière beaucoup plus importante que nos ancêtres. La voyance nous donne les grandes lignes de notre destin pur ou du destin pur de ceux qui nous entourent (conjoint, ami, collègue, etc.) Mais, sauf cas karmique exceptionnel, chacun peut, soit suivre le cours du destin, soit le faire bifurquer dans ce qui s’appelle un destin parallèle. C’est pourquoi il arrive qu’on dise : « Le voyant s’est trompé », alors que le voyant a dégagé des probabilités, il a éclairé le courant du destin, mais le consultant (ou son conjoint, etc.) a mis un barrage sur ce cours qui s’en est trouvé modifié.
D’ailleurs, l’intérêt de consulter un voyant, c’est aussi de voir les pièges que l’on peut éviter, ou de connaître les personnes qui nous sont bénéfiques ou néfastes.
Un exemple de destin parallèle :
Dans la vie sentimentale, il arrive malheureusement que certaines personnes malgré leur amour, dressent des obstacles à leur bonheur (par blocage psychologique, peur de leur famille, de perdre leurs biens…) et ne suivent pas de ce fait leur destin, qui serait de former un couple avec l’homme ou la femme de leur vie. C’est bien triste, mais on ne peut pas obliger quelqu’un à faire preuve de courage ou de force d’âme.
Autre exemple : le voyant vous recommande d’être prudent au volant. Si les cartes prennent la peine de vous avertir, suivez leur conseil : un accident potentiel vous sera évité. Vos guides ont eu le droit de vous prévenir (il arrive en cas de dette karmique, qu’on ne puisse pas être averti, mais c’est extrêmement rare).
La voyance n’étant pas une science exacte, aucun voyant sérieux ne peut affirmer : « Je ne me trompe jamais ». D’autant plus que les guides ne permettent pas toujours aux voyants d’avoir accès à certaines informations.
Pascale, quant à elle, forte du témoignage de ses fidèles consultant(e)s depuis 1992, estime son taux de réussite dans ses prédictions de l’ordre de 80 % environ, ce taux étant selon elle encore plus élevé sur l’étude du caractère des personnes.
Ce pourcentage de réussite est très honorable.